Comme il aurait été bon si notre amour n’était qu’un rêve Mais tu continues d’apparaître dans mes rêves éphémères Je reviens comme pour récupérer un objet oublié Dépoussiérant la poussière sur mes vieux souvenirs usés
Il existe des types de bonheur qui ne puisse revenir C’est la dernière leçon que tu m’as apprise avant de partir Le sombre passé dont je t’ai caché sans rien te le dire Serait toujours assombri si tu n’as pas été là dans ma vie
Au plus profond de mon coeur, la souffrance que j’ai enduré Je m’assure que plus rien encore ne pourrait me blesser
Même toute la tristesse de ces jours Même toute la souffrance de ces jours J’en ai aimé chaque seconde quand tu étais à mes côtés Ce parfum de citron m’accompagne comme un arrière goût amer Je ne rentrerais pas avant que la pluie ne se soit arrêté Même en cet instant tu restes toujours ma source de lumière
Dans l’obscurité je dessine le contours de ta silhouette Je me rappelle distinctement toutes tes petites facettes Quand je suis face à quelque chose que je ne puisse accepter Il y’a que mes larmes je ne puisse empêcher de couler
Que faisais-tu en ce moment ? Que regardes-tu en ce moment ? Les airs de ton visage que je ne verrais plus jamais
Même si tu es en ce moment quelque part, si tu te sens seule et que tu as le cafard Noyer dans la tristesse piégée dans cet ignoble cercle vicieux Je t’en prie oublie tout ce qui se rapproche de près ou de loin de nous deux Du plus profond de mon coeur meurtri c’est mon souhait le plus cher Même en cet instant tu restes toujours ma source de lumière
Depuis tout ce temps passé Je suis tombé amoureuse Plus que je ne le pensais Je n’arrive plus à respirer
Malgré que tu as été à mes côtés Cela sonne comme un leurre Je ne pourrais jamais t’oublier Tu es toujours dans mon coeur
Même toute la tristesse de ces jours Même toute la souffrance de ces jours J’en ai aimé chaque seconde quand tu étais à mes côtés Ce parfum de citron m’accompagne comme un arrière goût amer Je ne rentrais pas avant que la pluie ne se soit arrêté Tout comme la deuxième partie d’un fruit coupé et dissocié Même en cet instant tu restes toujours ma source de lumière
Je suis vraiment très heureuse d’avoir pu, un jour ou l’autre, te rencontrer Mais ne plus te voir me bouleverse et cela sonne maintenant comme une évidence Nous dire “adieu” semble être notre seule vérité Ces souvenirs où nous étions heureux sont remplis de souffrance
Si je pouvais changer ma vie, je souhaiterai être quelque chose d’inutile Je serais probablement sur ton chemin, ce petit caillou futile Ainsi, il n’y aura de confusion, de malentendu Alors, toi et moi, on ne se serait donc jamais connus
J’aimerai que tu entendes mes pensées et lise en moi comme dans un livre ouvert J’ai prétendu que je n’avais aucun secret et ai préféré me taire En réalité, je suis beaucoup plus lâche et faible que tu ne pourras jamais le penser Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?
On a des éternelles douleurs, des plaies sur le coeur qui ne cicatrisent jamais ; « C’est pour le mieux » ces mots que j’aimerai dire en riant me rendrais si comblée Tout me parait si trouble et semble prêt à disparaître juste devant mes propres yeux Un flot de miracles n’effacera pas nos adieux Puisque c’est mon nom que je t’ai entendu appeler
Si, parfois, tu penses perdre ta place, que tu n’es même plus dans mes pensées As tu vraiment cru qu’une autre personne pourrait un jour te remplacer ? Maintenant, notre ignorance, que nous prétendons, tous les deux Car je sais que cela, recommencera, nous serons encore heureux
Peu importe combien de fois j’ai beau prier, j’ai toujours des rêves misérables Ces petites anomalies finiront un jour par te rendre vraiment vulnérable En réalité, je suis beaucoup plus lâche et faible que tu ne pourras jamais le penser Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?
Je t’en prie, traverse avec moi les nuits qui me semblent ne pas pouvoir être surmontés Fais en sorte que ces jours où nos mains sont liées ne se termineront jamais Pour que ces couleurs restent vives, et ce même quand, mes yeux se seront fermés Pour réaliser ces souhaits, quelle est la solution? Malgré tout, ai je encore le droit d’appeler ton nom ?
Au moment où je suis née, la première seconde de ma vie J’ai crié et puis pleuré : “Je veux disparaître d’ici” Depuis ce jour, sans cesse, tout ce que j’ai pu rechercher Ma personne destinée Et c’est toi que j’ai trouvé
On a des éternelles douleurs, des plaies sur le coeur qui ne cicatrisent jamais ; « C’est pour le mieux » ces mots que j’aimerai dire en riant me rendrais si comblée Tout me parait si trouble et semble prêt à disparaître juste devant mes propres yeux Un flot de miracles n’effacera pas nos adieux Puisque c’est mon nom que je t’ai entendu appeler Est-ce-que, ton nom, je peux moi aussi le crier?
A la fin de l’été quand il est difficile, de choisir Bercer par les mouvements du train, les yeux perdus dans nos vieux souvenirs Les paysages des jours passés Je ne fais que d’emprunter des détours sans pouvoir être libre Ces villes et ces villages défilent sous mes yeux me semble si familier Le reflet de mon visage sur la vitre
Je me demande si tu es toujours la même personne qui vit dans mes pensées Celui qui pédalait à toute vitesse sur ce vieux vélo tout cabossé Du sang coulait sur ton genou avec ton air idiot tu me souriais En y repensant, je me sens abandonnée.
Peu importe si nous poursuivons nos vies dans notre côté Je prie pour qu’il y a une part de nous qui reste inchangés Encouragé par ces stupides souvenirs du bon vieux temps Et maintenant je chante (x3) Lalalala...
En montant dans un taxi avec lassitude et empressement En se dépêchant de me faire quitter cette ville animée, ennuyante Je regarde par la vitre en éternuant Je souhaiterai de tout mon coeur de pouvoir tout recommencer De pouvoir revivre le jour de notre rencontre par ce début d’amitié Ces souvenirs jamais je ne les oublirais
Je me demande si tu es toujours la même personne qui vit dans mes pensées Celui qui été à la recherche de sa chaussure tombée dans les fourrés Et me dire “Je sais que tout ira bien, peu importe ce qui nous attend “ Je me souviens des jours où nous riions innocemment
Peu importe si nous vieillissons chacun dans notre côté J’enverrai des fleurs pour t’aider à traverser ces longues années Encouragé par ces stupides souvenirs du bon vieux temps Et maintenant je chante (x3) Lalala
Je lève les yeux vers cette nouvelle lune, avant que l’aube ne vienne La regardes-tu aussi en ce moment-même ? Pour une certaine raison inconnue, mon coeur me fait tant souffrir, Ton visage s’estompe, les couleurs vont s’évanouir
Pour crier mon chagrin et ma douleur, il est trop tard, Mais je suppose que pour bien des choses, j’étais en retard Si l’on me donnait l’occasion de tout recommencer Je voudrais te revoir, simplement te croiser
Peu importe si nous poursuivons nos vies dans notre côté Je prie pour qu’il y a une part de nous qui reste inchangés Encouragé par ces stupides souvenirs du bon vieux temps Et maintenant je chante (x3) Lalala Je lève les yeux vers cette nouvelle lune, avant que l’aube ne vienne La regardes-tu en ce moment-même ? Je peux rire et dire que ce n’est rien à la lumière du jour Notre début est celle d’une couleur bleu
Tes yeux, ton torse, tes doigts, tout ce qu’on trouve chez toi, je n’y résiste pas. Tu m’apparais si lumineux que certaines nuits j’en perds l’esprit. Une douce lumière qui m'envahit, une douce chaleur dont je ne me lasse pas. Boire les étoiles et m’enivrer à l’infini, Face à l’étincelle d’un soudain désir qui s’est embrasé en moi, Et c’est grâce à tout cela que j’ai appris à marcher, oui encore une fois
Ô Tout Puissant, aie pitié, aie pitié, laisse moi entendre sa voix ! Rien qu’un seul mot me suffira. Nous ne serons plus jamais séparés, Dans cette constellation, oui, nous serons toujours liés, C’est mon plus grand souhait
Même en rêve, je reste constamment blessée, ya tout qui va mal, mon coeur a si mal. Alors mes regrets, mes larmes, ne t’en inquiète pas, non ne t’inquiète pas. Je tire sur les fils de mon pull, je tisse une constellation, c’est un idéal, Je mettrais des étoiles au bout de nos doigts Notre histoire c’est tellement mal terminée que tous les deux nous aurions dû en rire Simplement ta présence à mes côtés, en cet instant, pourrait me suffire
Même si maintenant, je veux, je peux exprimer mes sentiments Les obstacles ne sont plus importants. Et tandis que le jour se lève enfin Je peux regarder tes yeux, me perdre dans tes prunelles, Aux douces couleurs pastels
Ta voix est si pure, blanche comme la porcelaine Blanche comme la neige d’un dernier soir d’hiver La tempête hurle en silence, tout au fond de mon coeur Tandis que je m’avance sans savoir où la nuit me mène Et soudain les étoiles chutent les premières Telle une larme sur ma joue, et nous chantons en choeur Et avec elles je pleure
Ô Tout Puissant, aie pitié, aie pitié, laisse moi entendre sa voix ! Rien qu’un seul mot me suffira. Nous ne serons plus jamais séparés, Dans cette constellation, oui, nous serons toujours liés, C’est cela mon plus grand souhait
Entre, la porte est ouverte / Le silence règne en maître / Pas une âme qui vive Seule une chaise pour mobilier / Le sel de la mer / Apporté par le vent
Je laisserai la porte ouverte pour que toi / tu ne te perdes pas Entre donc, sans faire demi-tour Enfin ensemble/ de quoi/ pourrons-nous discuter ? Nos souvenirs faneront-ils/ un jour ?
Les étoiles/ éclairaient/ le ciel/ quand je t’ai / rencontré Et jamais / j’n’oublierai / cette nuit a-vec toi Impossible d’exprimer vraiment / tout ce que je ressens Toi et moi / Un secret, ce doux rêve d’été.
A la- mer une bouteille / dans les- vagues, brillant Esprits de l’Océan
[...]
Les bateaux quittent le port / et pour les saluer, / le vent souffle dans les branches Les pétales ainsi portés / perdus dans le ciel / murmurent cet-te chanson
J’entends parfois ton rire au loin, un éclat / Et il m’appelle je crois Je sens sous mes doigts la douceur de tes joues Et si j’avance sur le chemin qui mène à nous Je pourrais rouvrir les yeux, pour toi
[...]
Même si / notre mémoire / un jour / est vouée / à blanchir Crions le / toi et moi / oui nous sommes heureux Impossible d’exprimer vraiment / tout ce que je ressens Dans nos coeurs / Un arc-en-ciel de souvenirs
Les étoiles/ éclairaient/ le ciel/ quand je t’ai / rencontré Et jamais / j’n’oublierai / cette nuit a-vec toi Impossible d’exprimer vraiment / tout ce que je ressens Toi et moi / Un secret, ce doux rêve d’été.
A la- mer une bouteille / dans les vagues, brillant Esprits de l’Océan
Et sur- cette plage, où chante le vent Nous nous retrouverons.
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Re: KENSHI YONEZU
KENSHI YONEZU
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